Mon cul ne serait pas satisfait sans fist.

Pas facile de me faire fister régulièrement car ma femme n’en a pas envie, il faut trouver un complice intéressé par la manœuvre. Pour me préparer un fisteur a, un jour, commencé par m'introduire dans le cul un écarteur qu'il a ouvert au maximum sans que j'en sois particulièrement ému : en raison de l'élasticité de mon fion je ne sentais pas grand chose, mais puisque cela lui plaisait, pourquoi pas.

Après l’introduction successive de toute ma collection, la séance s'est terminée par son poing dans mon cul, c'était tout de même autre chose. C'était la deuxième fois où je me faisais fister, la première fois ce fut par un type qui a mis longtemps à y parvenir, je n'étais alors pas entraîné et lui avait préféré me fouetter longuement, de face et de dos. À la fin il me fistait alors que j'étais debout, j'en avais vraiment plein le cul, ça me faisait de l’électricité partout, vraiment jouissif et envie de recommencer, mais ce fisteur ne répond plus. Depuis, je ne compte plus les mains qui ont investi mes intestins.

La jouissance particulière du fist, en tous cas pour moi, c’est d’avoir un partenaire pour me défoncer l’œillet. J’entends tout de suite certains me dire que c’est la même chose entre deux pédés, mais non car un poing fermé est toujours plus gros qu’une bite, aussi imposante soit-elle. Les photos ci-dessous me montrent en train de me faire fister de dos, mais j’aime aussi beaucoup être couché sur le dos, les jambes en l’air, de préférence maintenues attachées en arrière, le cul soulevé pour pouvoir moi aussi profiter du spectacle de mes fesses investies, de mon trou du cul élargi, de cette main qui entre en moi, de ce poing qui manœuvre dans mes entrailles, qui les ramone et les laboure, mais j’adore aussi me faire ramoner le trou du cul par un gros rondin.